Pour nos prêtres, pour la vie et la mission de notre Eglise, DONNONS AU DENIER

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Contributeur : Service diocésain de la communication | Pour nos prêtres, pour la vie et la mission de notre Eglise, DONNONS AU DENIER

La campagne 2020 du Denier débute ce dimanche 9 février. Son slogan, « L’Eglise c’est NOUS, JE donne au denier » fait référence à la première Lettre de Saint Paul aux Corinthiens : « Or, vous êtes corps du Christ et, chacun pour votre part, vous êtes membres de ce corps. » Il est également en résonance avec les deux lettres pastorales de Mgr Robert Wattebled, évêque de Nîmes, invitant « A cause de Jésus et pour la multitude » à être davantage unis et solidaires les uns des autres.

70% des catholiques pratiquants ne participent pas au denier
Participer au Denier est un geste d’appartenance et de gratitude : appartenance à l’Eglise chargée de vivre et d’annoncer l’évangile dans le monde ; gratitude pour le don de la foi « hier, maintenant et toujours » et tout ce que Jésus accomplit dans la vie de ceux qui croient en Lui.
Pourtant, selon une étude publiée dans le journal La Croix en décembre 2018, il y aurait 70% des catholiques qui vont régulièrement à la messe qui ne donnent pas au denier, ne soutenant pas ainsi la vie de leurs prêtres et la mission de leur Eglise.
Pourquoi ?
Parmi les raisons possibles faisant que des catholiques pratiquants ne donnent pas au denier, il peut y avoir :
• une préférence pour la quête pouvant traduire une méconnaissance sur la manière dont l’Eglise se finance et sur ses différentes ressources (vidéo) ;
• Le bénévolat. Que serait la vie de notre Eglise sans les
bénévoles ! Du coup certains d’entre nous qui donnent sans
compte de leur énergie, de leur temps et parfois même de leur argent, se disent peut-être « pourquoi donner encore, je le fais déjà ? ».
C’est ignorer dans ce cas qu’en matière de denier ce n’est pas le montant de la somme que nous donnons, mais le geste d’appartenance que nous faisons chaque année, aussi modeste soit-il ;
• Une visibilité estompée du curé qui n’habite plus là ;
• La conséquence d’un événement qui a été mal vécu avec
le curé, la paroisse, à l’occasion par exemple des funérailles d’un proche ;
• Une visibilité abîmée de la figure du prêtre dans le
contexte des abus sexuels qui occulte la multitude de ceux
qui donnent leur vie et servent avec droiture et fidélité, le Christ, son Eglise, nous et nos familles ;
• Pour les mêmes raisons d’affaires de pédophilie, ce peut être la perte de confiance dans l’Institution qui occulte que l’Eglise c’est d’abord « Nous », le Corps du Christ. Une Eglise blessée, fragilisée, appelée à se convertir sans cesse, certes, mais forte, génération après génération, de la résilience de la foi.
• L’erreur de croire depuis la dernière assemblée des  évêques à Lourdes (nov. 2019) que le Denier pourrait être utilisé dans le cadre d’un forfait unique qui serait versé par l’Eglise aux victimes d’agression sexuelle. Le statut des associations diocésaines ne le permettent pas.

>> Donner en ligne c’est possible, cliquez ici
>> Comment l’Eglise se finance et à quoi sert le Denier ? cliquez ici

« la contribution au denier va bien au-delà du simple geste financier. C’est un acte de foi et d’espérance. C’est aussi un acte de justice qui permet d’assurer la rémunération des prêtres depuis 1905. » Mgr Robert Wattebled, évêque de Nîmes, Uzès et Alès