Allongement du délai de l’IVG : l’inquiétude de l’Église

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Contributeur : Service diocésain de la communication | Allongement du délai de l’IVG : l’inquiétude de l’Église

En France, l’Assemblée nationale a donné jeudi 8 octobre un premier feu vert à l’allongement du délai légal pour recourir à l’avortement, passant de 12 à 14 semaines de grossesse. Le texte doit maintenant passer entre les mains des sénateurs. La conférence des évêques de France s’inquiète de cette «poussée d’une frange militante».

-> lire les commentaires de Vincent Neymon, porte-parole de la conférence des évêques de France sur Vatican News (08/10/2020)

IVG : Quand les bornes sont franchies

À compter de la 13e semaine de grossesse, le fœtus développe le sens du toucher et devient sensible aux attentions des parents. À la même période, « la tête du fœtus est ossifiée et il faut l’écraser » pour avorter. La précision est apportée dans La Croix par le Pr Israël Nisand, lui qui n’a rien d’un militant pro-vie. Cette réalité, effarante pour toute personne qui en prend conscience et tout parent qui a suivi le développement de son enfant, est pourtant balayée par les militants de l’avortement.

-> lire la suite de la chronique de Erwan Le Morhedec, avocat et essayiste, sur La Vie (07/10/2020)

-> lire aussi : L’Ordre des médecins s’oppose à la loi renforçant l’IVG. Sur La Croix (12/10/2020)